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L’histoire de la tau remonte bien avant l’arrivée de Christ sur terre. Mais cela sont les Romains qui l’utilisèrent à grande échelle pour appliquer les gens. La martyr était liée à la croix par des lacet, ou ses paluches y étaient clouées, et on le laissait apaiser. Même avec la chaleur des rayons du soleil, la remorquage du corps et la paroxysme que la tué avait endurée avant d’être crucifixion, il lui fallait quelquefois une semaine pour apaiser. ce sont souvent les chrétiens qui commencèrent à utiliser une calvaire comme marque identitaire de la Église et chaque fois que l’évangile est hissé, ceux qui entendent l’information et reçoivent Christ comme Sauveur viennent à Lui par la certitude, par le procédé pour la croix.
L’ânkh, ou crucifix ansée, est la croix de vie des Égyptiens. Elle concorde au sténographie qui signifie “vie”. Elle est fréquemment vendue tenue dans la main des dieux. L’ânkh, marque identitaire important de l’Egypte vieillotte, peut être vu comme l’union des principes navale et féminin. Déjà présente au préhistoire, la tau solaire est un personnalité celte, puis un personnalité protestant dans les atoll britanniques. C’est une classique croix inscrite dans un club, évoquant le dieu soleil, la lumière éternelle, ou bien l’élaboration cosmique ( le cabinet éternel et du monde déplié ).
La crucifix est l’un des symboles chrétiens les plus anciens et plus courants. En fait, la tau type, constituée de de affilé à angle plat, est un senior identité qui date exact avant cette déballage. C’est toutefois en lui étant combiné que la calvaire fétiche rencontre son sens le plus caverneux. Dans son sens le plus riche la crucifix orthodoxe symbolise représente et commémore un communion directeur du Christianisme : la crucifiement de jésus-christ. Il faut savoir qu’il existe différentes tau, toutes ayant un sens particulier. Certaines dont associés à des bien précises du Christianisme, d’autres sont plutôt à rythmer avec des zones géographiques bien précises. En fait, la crucifix évangélique, constituée de de aigu à angle plat, est un senior personnalité relique qui date d’efficace avant la aveu type. Bref, nous allons vous afficher les différentes manières de sembler une tau chrétienne, et ce à travers les cultures et le temps.
Le pontife François remet au cœur de notre cran le mandat de l’humain, soit celle d’entrer dans la «mystique du vivre ensemble», véritable origine de notre vie sur Terre. L’Église explore aujourd’hui tous les moyens d’écrire un tournant, dans l’écoute, la comprehansion, l’accompagnement. Nous devons emmener les valeurs chrétiennes, qui excluent l’exclusion. Nous avons moins besoin de croix que de croyants qui savent rendre compte du sens de la Croix dans leur vie. Sachons être des «fervents de la vraie foi» habités de la présence de l’amour divines. Voilà le bon sens qu’est venue attribuer la Croix !
A l’entrée de la ville, au désespoir est plantée une Croix en bois portant un gars couronné d’épines avec une inscription déchiffrée par tous « Jésus de Nazareth, le Roi des juifs ». Dans cela drame du géhenne se joue le salut du monde. Dieu a prétendant à nos prédécesseurs de terminer avec l’habitation d’Israël et la maison de Juda ( ces habitations divisées ) une seule et exceptionnelle fusion nouvelle et éternelle qui sera à jamais inscrite, gravée sur la rappel et le myocarde du peuple tout parfait. En effet, cette mixtion nouvelle et éternelle scellée sur le bois de la Croix est la pleine manifestation, la aveu de l’amour de Dieu. Ce Dieu qui a tellement aimé le monde qu’il lui a proposé son fils unique comme bénéfique. Souvenez-vous que le bon voleur l’a bien connu et le centurion l’a confession : « Vraiment celui-ci est le l’oint du seigneur »
La 1ere grande apparition du chrisme est associée à un épisode mémorable de l’histoire fidèle : la revirement de l’empereur romain Constantin. L’histoire raconte que l’empereur, converti jadis au christianisme, aurait invité dans un sollicite le personnalisation du chrisme, dirigé du une demande « In idoine signo vinces » ( par ce signe tu vaincras ). Après sa conquête, le chrisme est parmi les symboles officiels des empereurs romains de facture catholique. On le trouve sur des ustensiles d’argent, des chapeaux ou des boucliers. Le chrisme perdra ensuite en importance sur le continent européen de l’Ouest, finesse troqué par le croix dans l’iconographie ouaille. Plus à l’est, il reste un symbole très employé au cours de toute la fin de l’Antiquité et jusqu’au Moyen-Âge. On croise fréquemment des chrismes sur les vitraux, les bas-reliefs ou les frontons d’édifices médiéval. Le seing du Christ est aussi très présent dans toute la peinture d’inspiration fidèle.
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