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La crucifix est un symbole senior, qui a vécu au cours du temps des nombreuses et différentes intelligence. Pour les chrétiens, elle est d’une capacité essentielle. garde avec les autres que sont les divers sortes de croix, leur informations sur l’histoire et leur mystique. Qu’est-ce que c’est la crucifix ? Probablement de nombreuses personnes que nous répondraient à cette question en annexant qu’il s’agit du personnalité chrétien typiquement, parce qu’elle rappelle messie arrivé crucifié, qui a vendu sa personne pour le salut de l’humanité. Cela c’est sans doute la vérité, si ce n’est que le symbole de la calvaire voyait déjà avant.
La crucifix euscarien ou lauburu est un marque identitaire spécialement formé de quatre « virgules », empreinte identitaire du pays euskarien, qui indiquerait à partir du début le agissement du temps ( pour une durée de 365 jours ), ou les 4 éléments – l’eau, la terre, le feu tricolore et l’air. Et voilà, c’est fini. Mais n’allez pas croire qu’il il n’y en a que ces croix-là, car ils sont présent bien d’autres, tout comme la crucifix ouaille, la calvaire relevée, la calvaire de Malte, la croix tréflée, la crucifix Occitane…
Selon la légende connu, la croix kymrique est introduite par st Patrick lorsqu’il convertit les païens d’Irlande au Christianisme. Il est dit que st Patrick aurait fabriqué la crucifix romaine simple avec le marque identitaire rond des rayons du soleil relapse pour exposer aux affiliés fraîchement convertis l’idée de l’importance de la calvaire bon en la adjoignant au symbolisme des qualités vivifiantes des rayons du soleil. des affirment au lieu mettre la crucifix orthodoxe au sommet du clan donne la prédominance du Christ sur le dieu-soleil, qui était adoré par les païens. Selon certaines source encore, les cercles auprès de l’intersection de la tau orthodoxe représentent l’unification, la totalité, et l’inclusion de la confession dans notre vie. Toutefois, il est sur qu’une grande partie de la story verbal et de la des anciennes voies celtiques a été perdue.
Le pape François remet au cœur de notre sang-froid le mandat de l’humain, soit celle d’entrer dans la «mystique du vivre ensemble», véritable raison d’être de notre vie sur Terre. L’Église explore aujourd’hui tous les moyens d’inscrire un prenant, dans l’écoute, la communication, l’accompagnement. Nous devons capturer les valeurs chrétiennes, qui excluent l’exclusion. Nous avons moins nécessité de calvaire que de croyants qui savent rendre compte du sens de la Croix dans leur vie. Sachons être des «fervents de la vraie foi» habités de la présence de l’existence céleste. Voilà le droit sens qu’est création attribuer la Croix !
Le mot « Croix » dérive du voile latine Crux. Chez les anciens romains, il s’agissait d’un instrument installé pour calotter des terribles souffrances, la crucifixion plutôt. Mais, en restant dans le environnement des symboles, rappelons-nous que dans la numération pèse-lettre le chiffre 10 s’écrit X, élément qui souviens beaucoup une croix. En arrivant au Christianisme, comme nous l’avons déjà avancé, la croix est l’indispensable empreinte identitaire de cette foi. Elle souviens, effectivement, la morbidité de Jésus, crucifié par commande de Ponce Pilate, Procurateur romain de la gainier, qui le condamna à fond. Paradoxalement, d’un geste si atrabilaire et acharné, la crucifix est née à nouveau et a assumé une valeur heureuse, parce que la goût et le coté macabre de Jésus coïncident avec l’accomplissement de Sa mission de salut pour hommes. Un identité d’amour totale, ainsi, de gambits extrême.
Le symbolisme psychologique baptisé a connu son âge d’or aux années qui défilent des cathédrales, c’est-à-dire au Moyen Age, il s’est étendu mais est resté vivant à la Renaissance et il a connu un certain décadence à partir des Temps Modernes. aujourd’hui, il est plutôt l’affaire de spécialistes et si les générations d’avant la seconde guerre internationale ont encore eu des doctrine de symbolisme psychologique, ces idée s’effacent comme dessins sur le gravillon au niveau des nouvelles générations. Comment en est-on parvenu là ? La déchristianisation progressive de notre société y est pour beaucoup, assurément, mais le fait que les personnes pratiquantes n’ont plus trouvé au sein du ordre les guides qui avaient l’occasion de leur procurer les clé du symbolisme ouaille n’y est certainement pas non plus insoucieux.
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